La micronutrition pour le bien-être

Le bien-être va dépendre de la fabrication des neuro-transmetteurs au niveau du cerveau sous l’influence de micronutriments spécifiques.

Il existe 4 catégories de micronutriments pour le cerveau:

  • les acides aminés (exemple le L-tryptophane, L-methionine,…..)
  • les vitamines
  • les minéraux et les oligoéléments
  • les plantes (millepertuis, genciane, safran, bacopa etc. )

Les conseils de votre nutritionniste vont donc vous changer la vie car il vous prescrira ceux qui sont les plus adaptés à votre cas.

Quelques exemples :

Le L-tryptophane est un acide aminé essentiel précurseur de la sérotonine, le neurotransmetteur du bien-être et de la bonne humeur. Il ne peut être synthétisé par l’organisme. Son apport est uniquement alimentaire. Or il est rare car il est détruit par la cuisson des aliments. L’apport complémentaire en L-tryptophane permet donc de lutter contre les comportements compulsifs. Il devient incontournable dans certains cas pour l’amincissement et le bien-être.

Le millepertuis est probablement l’une des plantes de phytothérapie la mieux connue et la plus étudiée. Il est utilisé comme anxiolytique et anti-névrotique depuis la Grèce antique. Il lutte contre la dépression saisonnière associée à l’hiver et au manque de luminosité.

La rhodiola possède des propriétés assez proches du Ginseng. Elle est adaptogène et revitalisante ce qui renforce le système immunitaire. Elle agit sur la mémoire comme oxygénateur tissulaire, particulièrement au niveau cérébral. Elle est utilisée pour traiter la fatigue physique et intellectuelle, le stress, la baisse de libido ainsi que le dysfonctionnement sexuel. On la préconise également en cas de dépression, de surmenage, de trouble de mémoire et de concentration.

Quand consulter un micronutritionniste ?

Dès que l’on souhaite se soigner naturellement sans médicament et obtenir des conseils en nutrition, à l’aide de plantes ou d’oligo-éléments, etc….

Le micronutritionniste peut être amené à demander des analyses de sang spécifiques ( par exemple, dans le cas de l’intolérance au gluten ) car cela exige de considérer la patiente dans sa globalité sur un plan physique et psychique.

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